Je sens que ma vie est une merde. Je suis en train de me taper les spécial ‘Wok’ de Stouffer’s. Je n’ai pas demandé à vivre ça. Ou sont les poissons frais, la salade de maman (avec un peu trop de mayo, je l’accorde, mais qui vaut son pesant d’or), les pâtés et les desserts? Dans mon cul… Quoique ça a peut être à voir avec ma réputation de ‘Montreal’s Best Butt’? Merci maman d’avoir bien engraissé mon arrière-train…
J’ai des hommes dans ma vie ces temps-ci. Assez pour me divertir à fond. Prenez tous mes derniers blogues et mettez tout ça ensemble : C’est ma vie! J’ai un ‘setup’ d’anciens amants. Sournois, préoccupants, indirects, insaisissables. Mes vieux amants reviennent toujours à la surface. Ils me tiennent par les gosses; ou plutôt par le clitoris. Et je suis pathétique… Je m’entends encore leur scander leurs mérites; m’illusionner qu’ils m’aiment bien au fond. En fait, c’est moi qui les aime bien au fond… Je les adore et me fends en quatre pour pseudo-accepter ou comprendre leurs ‘combats’. Que des cons. Merde…
J’ai aussi le ‘setup’ des amants actuels. D’autres mêlés avec qui je passe du bon temps. Et quel bon temps! J’ai désormais un flair absolu pour trouver des partenaires de reproduction. Complicité et Fit parfait. Je détrempe mes sièges juste à y penser. Ce sont des attirances bizarres qui ne correspondent pas à mes critères sociaux. J’ai déjà abordé les phéromones non? Ça explique tout. On cherche inconsciemment une certaine incompatibilité dans nos gênes reproducteurs puisque des gênes opposés créent des bébés plus forts. Cet instinct est majoritairement sexuel et entraîne des séances de lit très prenantes. Cependant, qui dit opposé dit extrême, incompatible, insensé et incompréhensible… Opposé dit aussi : G, ne perds pas ton temps… Re-merde
J’ai désormais aussi la section ‘date’ de ma vie. Pauvres petites bêtes. J’ai l’impression de les faire payer inconsciemment pour tous les autres. Je leur joue le grand truc : ils paient pour le resto, pour l’alcool et ont droit à une mini-complicité de quelques heures. C’est aussi eux qui proposent la suite, et j’accepte, en roulant l’épaule, de les accompagner pour un dernier café sur Mont-Royal. Le résultat : après une hernie discale à avoir trop roulé l’épaule, des crampes aux joues et le ventre plein, ils me rappellent à quel point je suis magnifique mais aussi que je suis un peu insaisissable. Re-re-merde. Qui eût cru que la séduction est un art de vivre pour certains et un combat ultime pour d’autres? Je sonne faux en Marilyn Monroe.
Finalement, il y a mon vibrateur. Je le hais. Il est toujours là, prêt à combler quelque besoin le salaud… Et je suis déçue à chaque fois. Un orgasme sans couleur, sans odeur, qui m’attriste plus que me satisfait. Il n’a même pas la grâce de la masturbation traditionnelle qui consiste au minimum à ME faire l’amour. Je le déteste. Il procure des giga-orgasmes qui font mal. Trop localisés, trop forts et en trop peu de temps. Un orgasme qui donne une crampe et s’en va. Rien de revitalisant. Et mon esprit s’effrite à chaque fois ou je jouis de tant de froideur. Re-re-re-merde.
Avec tout ça vient le concept d’équilibre. Un concept très flou à mes yeux, vous aurez deviné. Si les gens qui m’attirent sont déséquilibrés, comment balancer le tout sans me perdre moi-même. Ou pourquoi ne pas laisser un peu de chance à ceux qui m’attirent un peu moins? Parce qu’ils m’attirent un peu moins, voilà tout! Et ces jeunes comptables boutonneux qui ne cherchent que l’amour sauraient-ils me combler? Hummm… je rappelle la section ‘point’ de mon cellulaire à l’instant…
Bonne semaine!
Entendu 6 fois en deux semaines :
-‘ G, tu sens le cul ‘
-‘ G, tu dégages une énergie sexuelle particulièrement intense, tu es charmante aussi.’
Merci! Merci! Je gagne un voyage pour quatre personnes à Disney pour ça?!? Non!?! Merci quand même…
J’ai des hommes dans ma vie ces temps-ci. Assez pour me divertir à fond. Prenez tous mes derniers blogues et mettez tout ça ensemble : C’est ma vie! J’ai un ‘setup’ d’anciens amants. Sournois, préoccupants, indirects, insaisissables. Mes vieux amants reviennent toujours à la surface. Ils me tiennent par les gosses; ou plutôt par le clitoris. Et je suis pathétique… Je m’entends encore leur scander leurs mérites; m’illusionner qu’ils m’aiment bien au fond. En fait, c’est moi qui les aime bien au fond… Je les adore et me fends en quatre pour pseudo-accepter ou comprendre leurs ‘combats’. Que des cons. Merde…
J’ai aussi le ‘setup’ des amants actuels. D’autres mêlés avec qui je passe du bon temps. Et quel bon temps! J’ai désormais un flair absolu pour trouver des partenaires de reproduction. Complicité et Fit parfait. Je détrempe mes sièges juste à y penser. Ce sont des attirances bizarres qui ne correspondent pas à mes critères sociaux. J’ai déjà abordé les phéromones non? Ça explique tout. On cherche inconsciemment une certaine incompatibilité dans nos gênes reproducteurs puisque des gênes opposés créent des bébés plus forts. Cet instinct est majoritairement sexuel et entraîne des séances de lit très prenantes. Cependant, qui dit opposé dit extrême, incompatible, insensé et incompréhensible… Opposé dit aussi : G, ne perds pas ton temps… Re-merde
J’ai désormais aussi la section ‘date’ de ma vie. Pauvres petites bêtes. J’ai l’impression de les faire payer inconsciemment pour tous les autres. Je leur joue le grand truc : ils paient pour le resto, pour l’alcool et ont droit à une mini-complicité de quelques heures. C’est aussi eux qui proposent la suite, et j’accepte, en roulant l’épaule, de les accompagner pour un dernier café sur Mont-Royal. Le résultat : après une hernie discale à avoir trop roulé l’épaule, des crampes aux joues et le ventre plein, ils me rappellent à quel point je suis magnifique mais aussi que je suis un peu insaisissable. Re-re-merde. Qui eût cru que la séduction est un art de vivre pour certains et un combat ultime pour d’autres? Je sonne faux en Marilyn Monroe.
Finalement, il y a mon vibrateur. Je le hais. Il est toujours là, prêt à combler quelque besoin le salaud… Et je suis déçue à chaque fois. Un orgasme sans couleur, sans odeur, qui m’attriste plus que me satisfait. Il n’a même pas la grâce de la masturbation traditionnelle qui consiste au minimum à ME faire l’amour. Je le déteste. Il procure des giga-orgasmes qui font mal. Trop localisés, trop forts et en trop peu de temps. Un orgasme qui donne une crampe et s’en va. Rien de revitalisant. Et mon esprit s’effrite à chaque fois ou je jouis de tant de froideur. Re-re-re-merde.
Avec tout ça vient le concept d’équilibre. Un concept très flou à mes yeux, vous aurez deviné. Si les gens qui m’attirent sont déséquilibrés, comment balancer le tout sans me perdre moi-même. Ou pourquoi ne pas laisser un peu de chance à ceux qui m’attirent un peu moins? Parce qu’ils m’attirent un peu moins, voilà tout! Et ces jeunes comptables boutonneux qui ne cherchent que l’amour sauraient-ils me combler? Hummm… je rappelle la section ‘point’ de mon cellulaire à l’instant…
Bonne semaine!
Entendu 6 fois en deux semaines :
-‘ G, tu sens le cul ‘
-‘ G, tu dégages une énergie sexuelle particulièrement intense, tu es charmante aussi.’
Merci! Merci! Je gagne un voyage pour quatre personnes à Disney pour ça?!? Non!?! Merci quand même…