Enfin, j’ai eu un COÏT hier soir!!! Oui, oui, un vrai de vrai! Fellation et coït! Ce qui est bien c’est que le sexe, c’est comme le vélo, ça ne se perd pas! Après trois semaines (autre record!) j’ai eu une petite crainte au sujet de mes prouesses… Mais c’était génial.
C’est une belle journée aujourd’hui. Une journée ou même si je n’ai dormi que trois heures, même s’il y a du trafic, je chantonne dans la ville! Même si le boulot est ordinaire aujourd’hui, même s’il fait chaud dans mon kit de ‘rock star’ d’hier soir et même si le monde est en guerre, je suis de bonne humeur. Le ciel pourrait me tomber sur la tête, j’aurais les yeux rivés au ciel pour y voir le soleil. Remplie d’hormones, les ongles qui se réhabilitent tranquillement, je suis heureuse! Vive le sexe!
Il est une heure du matin, je suis un peu éméchée et rendue au plan B par je ne sais trop quel hasard. Je refais le monde sur la terrasse avec un artiste folk en devenir…(en fait, je ne pourrai jamais acheter son disque parce que je ne me rappelle plus son nom) Surprise! Mon Viktor est assis au bar avec un ami… Viktor, c’est un peu comme les Vectors de Kellogs, c’est un supplément alimentaire complet, énergisant et dynamisant.
Quand on s’est retrouvé, c’était génial. En fait, ce fût génial dans l’ensemble. Les baisers, les fellations (ça me manquait) et la baise. Sur lui, j’ai eu une bouffée d’hormones de Viktor qui sont venues me titiller le nez. J’ai su à ce moment que les phéromones de mon amant transpiraient de sa peau et envahissaient l’air. Double stimulation, sensorielle et odorante. C’était le comble pour me faire atteindre le 15e ciel en quelques secondes, corps contre corps, bouche contre bouche, ongles contre dos (?!?). Hum… serre-moi…
Juste écrire c’est difficile, je ne tiens plus en place! Et nous sommes jeudi!
Bonne journée!
Thursday, August 31, 2006
Wednesday, August 30, 2006
Moi... et anecdotes...
Moi : n.m
Ce qui constitue la personne humaine; La personnalité égoïste; (Psychan.) Instance régulatrice de la personnalité, distincte du ça et du surmoi, et permettant à l’individu de s’équilibrer entre les pulsions et la réalité.
Très intéressant cette définition de moi. Particulièrement la partie psycho (lire avec un accent anglophone)… M’équilibrer entre mes pulsions et la réalité : intéressant. Particulièrement lorsque mes pulsions sont bien réelles et que ma réalité est très équilibrée au travers des pulsions vécues… Aussi, doit-on désassocier les pulsions du réel, les laisser gâcher notre inconscient? Non, merci pour moi. Une pulsion retardée mais non négligée crée l’effet de préliminaires, un tantrisme soft. C’est ce qui explique pourquoi le soir, j’ai une envie folle de baiser. Ne me parler pas de baiser le matin, sauf quand on peut prendre son temps. Sauf aussi quand mon amant me réveille de caresses, ce qui est plutôt rare. Parce que toute la nuit, j’ai rêvé de calinours, princes et épées et que je ne suis pas disposée mentalement au sexe. Je débarque tout droit de Walt Disney, comment oser me faire revenir sur terre d’une manière si brutale? Entre Cendrillon et un pénis dans les fesses, il y a un délicat conditionnement à opérer! Le matin, c’est les fellations, parce que je suis définitivement plus disposée à ça. C’est mon forfait quoi!
D’un autre côté dès la première minute de ma matinée, je pense au sexe. Ainsi, j’augmente mon envie toute la journée, mes sens sont émoustillés par les passants, les odeurs, les gens qui s’embrassent, le chocolat. Le soir, je suis donc déjà préparée mentalement, physiquement pour une bonne relation…ET IL FAUT QUE ÇA SE CONCRÉTISE! Sinon, crise de nerf, Ouf… après les ongles cassants, on croirait que j’entre dans une phase de philosophie à 1 cent!
Bref, le blogue d’aujourd’hui est très éducatif, dans la catégorie philosophie à 1 cent toujours! : Connaître son Moi avant d’explorer le Moi des autres. Notre Moi perso est conjugué et interprété par les autres. Mes parents ont fait de moi une star, mes amies; une femme, mes amis; une muse, mes amants; une putain, mes ex; une maîtresse, mes collègues; une amie, les hommes; une guerrière, les femmes; une compétitrice… Et moi, qu’ai-je fait de moi? Une bloggeuse???
Certains traits se démarquent particulièrement en situation extrême. C’est pourquoi les anecdotes d’aujourd’hui sont tirés des aventures de mes amies et entrent dans la catégorie : No limits… N’ayez crainte, encore une fois, aucun animal n’a été blessé lors de nos prouesses!
Amélie… en profondeur
Trait de personnalité : Persévérante
Amélie est intense. Intense au point d’entrer dans un banc de neige en pleine tempête, rester prise et choisir le premier bel inconnu qu’elle croise pour qu’il l’aide. Intense aussi au point de lui payer un, deux, trois verres et de terminer la soirée avec l’inconnu dans un motel miteux en plein milieu de nulle part. Amélie est saoule, lui aussi et ils se dirigent vers une baise hors du commun. Puisque Amélie est intense, elle fait une fellation au bel inconnu. Ce dernier apprécie grandement la chose et aide notre Amélie nationale à atteindre des profondeurs gutturales par de légers coups de bassins. Contrôlant d’abord les mouvements, Amélie continue sa pipe en ayant de plus en plus de difficulté à maîtriser les coups qu’elle reçoit dans la gorge.
-Arrête de donner des coups, je vais être malade.
-Mais non, continue!
-Non arrête de bouger, je vais être malade!
-Ce n’est pas grave, continue…
Amélie continue sa fellation, puisqu’elle est intense. Lui, continue de donner des coups et…
-Buurrrpp
Valérie… de fond en comble
Trait de personnalité : Sensible
Valérie jouit d’une relation stable avec son conjoint depuis quelques années déjà. Ils ont exploré la majorité des avenues possibles côté sexe et demeurent toujours aussi amoureux. Un certain soir, la traditionnelle position ‘par en arrière’ est sélectionnée et ils font l’amour. Lui, un peu trop épanoui dans ses ébats fait une fausse manœuvre et son pénis sort. (Habituellement ça arrive quand les pénis sont petits mais je ne peux me prononcer dans ce cas-ci… ) Il prend son sexe pour l’insérer d’un bon coup mais se trompe d’orifice et dépucelle le tendre anus de Valérie. Valérie a hurlé et est tombée dans les pommes. Elle est restée dans un pseudo-coma durant une vingtaine de minutes avec des convulsions. Aussi, elle a pris congé le lendemain puisqu’elle avait définitivement très mal…
Anaïs… et le romantisme
Trait de personnalité : euh… généreuse?
Anaïs et son ancien copain s’offrent une bonne baise du midi. Sur le quai de l’horloge, dans le gazon, alors que ce secteur est encore en construction, Anaïs s’envoie en l’air. La jupe remontée, à cheval sur son homme, ils font l’amour. Lorsque leurs ébats sont terminés, Anaïs se relève, la jupe remontée et les cheveux éparpillés. Vingt hommes de construction sortent de la roulotte stationnée près d’eux en criant et en applaudissant : ‘Lunch time???’
Moi…et les briquets
Trait de personnalité : Ricaneuse
Il y a quelques années, j’entretenais une très grande amitié avec un certain Vincent. Vincent et moi étions inséparable, et tout amour avait été exclu de notre relation, sauf que… L’alcool coulait à flots ce soir là et soudain, Vin avait gagné un certain potentiel sexuel à mes yeux, et moi aux siens. Nous entrons chez moi, s’embrassant et sachant que corps allaient se déguster. Vincent se déshabille et se plonge sur moi. Je ne sens rien! Ou est le pénis??? Il est tout petit et camouflé entre ses cuisses… Je pouffe de rire mais Vin ne réalise pas que je ris. Il est concentré à me faire plaisir. Je ris et ricane, ayant des spasmes mais mon amant ne se rend compte de rien. En fait, il est convaincu à ce moment que j’apprécie grandement (ou petitement?!?) la chose. Il se démène comme un petit lapin pour combler mes sens. Mes rires étouffés lui rappellent probablement des gémissements amoureux. Je ris tellement que j’en pleure et me couvre la tête de mon oreiller pour qu’il ne perde pas confiance, jusqu’à ce que je réalise que ma plaisanterie a assez duré…
- Vincent, arrête, je ne suis plus capable
- Ah oui! Tu aimes?
- Oui, oui, mais j’aimerais que tu quittes, je n’en peux plus…
Vincent, retourne chez lui, fier comme un paon de m’avoir, selon lui, fait jouir comme un seul homme jusqu’à ce que j’en puisse plus… De mon côté, dès mon réveil, j’appelle Marie pour lui raconter le tout… Au coin d’une table d’un café, je lui raconte :
- Oui, oui, très petit, je me tordais de rire!
- Ah oui! Petit comment.
À ce moment, j’ai sorti mon briquet Bic que j’ai déposé sur la table… Vincent le briquet était né…
Promis, j’ai plein d’activités cette semaine et un cellulaire bourré de nouveaux amants potentiels, je vous reviens avec du ‘toutneuf’ la semaine prochaine!
Bonne semaine!
Ce qui constitue la personne humaine; La personnalité égoïste; (Psychan.) Instance régulatrice de la personnalité, distincte du ça et du surmoi, et permettant à l’individu de s’équilibrer entre les pulsions et la réalité.
Très intéressant cette définition de moi. Particulièrement la partie psycho (lire avec un accent anglophone)… M’équilibrer entre mes pulsions et la réalité : intéressant. Particulièrement lorsque mes pulsions sont bien réelles et que ma réalité est très équilibrée au travers des pulsions vécues… Aussi, doit-on désassocier les pulsions du réel, les laisser gâcher notre inconscient? Non, merci pour moi. Une pulsion retardée mais non négligée crée l’effet de préliminaires, un tantrisme soft. C’est ce qui explique pourquoi le soir, j’ai une envie folle de baiser. Ne me parler pas de baiser le matin, sauf quand on peut prendre son temps. Sauf aussi quand mon amant me réveille de caresses, ce qui est plutôt rare. Parce que toute la nuit, j’ai rêvé de calinours, princes et épées et que je ne suis pas disposée mentalement au sexe. Je débarque tout droit de Walt Disney, comment oser me faire revenir sur terre d’une manière si brutale? Entre Cendrillon et un pénis dans les fesses, il y a un délicat conditionnement à opérer! Le matin, c’est les fellations, parce que je suis définitivement plus disposée à ça. C’est mon forfait quoi!
D’un autre côté dès la première minute de ma matinée, je pense au sexe. Ainsi, j’augmente mon envie toute la journée, mes sens sont émoustillés par les passants, les odeurs, les gens qui s’embrassent, le chocolat. Le soir, je suis donc déjà préparée mentalement, physiquement pour une bonne relation…ET IL FAUT QUE ÇA SE CONCRÉTISE! Sinon, crise de nerf, Ouf… après les ongles cassants, on croirait que j’entre dans une phase de philosophie à 1 cent!
Bref, le blogue d’aujourd’hui est très éducatif, dans la catégorie philosophie à 1 cent toujours! : Connaître son Moi avant d’explorer le Moi des autres. Notre Moi perso est conjugué et interprété par les autres. Mes parents ont fait de moi une star, mes amies; une femme, mes amis; une muse, mes amants; une putain, mes ex; une maîtresse, mes collègues; une amie, les hommes; une guerrière, les femmes; une compétitrice… Et moi, qu’ai-je fait de moi? Une bloggeuse???
Certains traits se démarquent particulièrement en situation extrême. C’est pourquoi les anecdotes d’aujourd’hui sont tirés des aventures de mes amies et entrent dans la catégorie : No limits… N’ayez crainte, encore une fois, aucun animal n’a été blessé lors de nos prouesses!
Amélie… en profondeur
Trait de personnalité : Persévérante
Amélie est intense. Intense au point d’entrer dans un banc de neige en pleine tempête, rester prise et choisir le premier bel inconnu qu’elle croise pour qu’il l’aide. Intense aussi au point de lui payer un, deux, trois verres et de terminer la soirée avec l’inconnu dans un motel miteux en plein milieu de nulle part. Amélie est saoule, lui aussi et ils se dirigent vers une baise hors du commun. Puisque Amélie est intense, elle fait une fellation au bel inconnu. Ce dernier apprécie grandement la chose et aide notre Amélie nationale à atteindre des profondeurs gutturales par de légers coups de bassins. Contrôlant d’abord les mouvements, Amélie continue sa pipe en ayant de plus en plus de difficulté à maîtriser les coups qu’elle reçoit dans la gorge.
-Arrête de donner des coups, je vais être malade.
-Mais non, continue!
-Non arrête de bouger, je vais être malade!
-Ce n’est pas grave, continue…
Amélie continue sa fellation, puisqu’elle est intense. Lui, continue de donner des coups et…
-Buurrrpp
Valérie… de fond en comble
Trait de personnalité : Sensible
Valérie jouit d’une relation stable avec son conjoint depuis quelques années déjà. Ils ont exploré la majorité des avenues possibles côté sexe et demeurent toujours aussi amoureux. Un certain soir, la traditionnelle position ‘par en arrière’ est sélectionnée et ils font l’amour. Lui, un peu trop épanoui dans ses ébats fait une fausse manœuvre et son pénis sort. (Habituellement ça arrive quand les pénis sont petits mais je ne peux me prononcer dans ce cas-ci… ) Il prend son sexe pour l’insérer d’un bon coup mais se trompe d’orifice et dépucelle le tendre anus de Valérie. Valérie a hurlé et est tombée dans les pommes. Elle est restée dans un pseudo-coma durant une vingtaine de minutes avec des convulsions. Aussi, elle a pris congé le lendemain puisqu’elle avait définitivement très mal…
Anaïs… et le romantisme
Trait de personnalité : euh… généreuse?
Anaïs et son ancien copain s’offrent une bonne baise du midi. Sur le quai de l’horloge, dans le gazon, alors que ce secteur est encore en construction, Anaïs s’envoie en l’air. La jupe remontée, à cheval sur son homme, ils font l’amour. Lorsque leurs ébats sont terminés, Anaïs se relève, la jupe remontée et les cheveux éparpillés. Vingt hommes de construction sortent de la roulotte stationnée près d’eux en criant et en applaudissant : ‘Lunch time???’
Moi…et les briquets
Trait de personnalité : Ricaneuse
Il y a quelques années, j’entretenais une très grande amitié avec un certain Vincent. Vincent et moi étions inséparable, et tout amour avait été exclu de notre relation, sauf que… L’alcool coulait à flots ce soir là et soudain, Vin avait gagné un certain potentiel sexuel à mes yeux, et moi aux siens. Nous entrons chez moi, s’embrassant et sachant que corps allaient se déguster. Vincent se déshabille et se plonge sur moi. Je ne sens rien! Ou est le pénis??? Il est tout petit et camouflé entre ses cuisses… Je pouffe de rire mais Vin ne réalise pas que je ris. Il est concentré à me faire plaisir. Je ris et ricane, ayant des spasmes mais mon amant ne se rend compte de rien. En fait, il est convaincu à ce moment que j’apprécie grandement (ou petitement?!?) la chose. Il se démène comme un petit lapin pour combler mes sens. Mes rires étouffés lui rappellent probablement des gémissements amoureux. Je ris tellement que j’en pleure et me couvre la tête de mon oreiller pour qu’il ne perde pas confiance, jusqu’à ce que je réalise que ma plaisanterie a assez duré…
- Vincent, arrête, je ne suis plus capable
- Ah oui! Tu aimes?
- Oui, oui, mais j’aimerais que tu quittes, je n’en peux plus…
Vincent, retourne chez lui, fier comme un paon de m’avoir, selon lui, fait jouir comme un seul homme jusqu’à ce que j’en puisse plus… De mon côté, dès mon réveil, j’appelle Marie pour lui raconter le tout… Au coin d’une table d’un café, je lui raconte :
- Oui, oui, très petit, je me tordais de rire!
- Ah oui! Petit comment.
À ce moment, j’ai sorti mon briquet Bic que j’ai déposé sur la table… Vincent le briquet était né…
Promis, j’ai plein d’activités cette semaine et un cellulaire bourré de nouveaux amants potentiels, je vous reviens avec du ‘toutneuf’ la semaine prochaine!
Bonne semaine!
Tuesday, August 22, 2006
Anecdote 1
Bon mardi!
Beaucoup de réflexions ce week-end… Entre filles, entre amis, beaucoup de discussions, ce qui me permet de soutenir que le sujet de mon blogue est universel. En effet, nous étions exactement 11 à chercher l’amour, 11 à avoir des besoins sexuels, 11 à se demander si l’âme sœur existe. Quelques uns, plus désabusés, soutiennent que si c’est leur destin, tout peut arriver, le meilleur et le pire aussi. D’autres, plus rêveurs, soutiennent que l’amour les attend quelque part sans attentes, ni concessions. Aussi des évolutionnistes qui croient que l’amour n’est qu’un concept social, qu’un conditionnement et hésitent à s’immiscer dans le patern couple. Certains ont aussi le stress de l’age, de l’horloge biologique qui frappe, ils veulent réaliser leur plan de vie… Nous tous avons peur. Une peur qui freine un peu les pulsions, qui freine aussi la patience et la joie de laisser aller. Nous tous avons aussi hâte, enchantés par l’idée de tomber à nouveau en amour, de ne plus manger, de savoir que quelqu’un nous aime d’amour quelque part dans le monde. Et finalement, nous tous y croyons malgré nous. Nous y croyons faisant même abstraction des blessures passées, des chicanes, des rires perdus, de l’orgueil blessé surtout. Un bel échantillon de personnes, de personnages que ce week-end…
Nous en avons aussi profité pour nous tirer les verres du nez et raconter nos pires et nos meilleures anecdotes… de sexe bien sûr! Finalement, j’ai tellement d’anecdotes à raconter que je devrai faire quelques blogues sur le sujet… D’ailleurs, aujourd’hui, je ne sais pas si je dois commencer avec les versions soft ou un peu plus cru?? Va pour un gentil amalgame de soft…
Été 2005 :
J’ai fréquenté quelqu’un l’été dernier et nos ébats sexuels ont commencé sur une note très sympathique…
Depuis un mois cette personne est dans ma vie et nous multiplions les activités, les dodos et les sorties. Mais rien… je ne sais même pas si il y a possibilité, jusqu’à ce jour, que Fred devienne un vaillant amant. Nous allons en camping dans le Nord, moi me disant que ce week-end, j’aurai réponse à la suite de notre amitié et à ses intentions. Fred de son côté se fait réveiller par moi à 8h du matin, un samedi, parce que j’ai hâte de partir… Il fait donc ses bagages à la hâte et on se retrouve en moins de deux sur la route.
En chemin, c’est super sympathique, on s’entend à merveille, comme toujours. (ça peut paraître bénin mais c’est très important de tolérer un homme plus de deux heures en voiture!) Fred, malgré ses airs innocents avait sélectionné le terrain le plus génial du Québec. Sur le bord d’un lac, entouré d’arbres, mais surtout, à l’abri de nos voisins de camping qui sont à une trentaine de mètres, à peine perceptibles. Nous nous installons, trouvons un excellent restaurant pour souper, nous buvons du vin et tout s’enligne vers la soirée parfaite!
De retour au terrain, une chimie s’est installée par le biais d’alcool et de rires. Lui qui ne m’a jamais attiré jusqu’ici se présente alors à moi sous un autre jour. Plus enivrant, plus mystérieux. Ma perception change par le fait même que je ressens l’étape suivante comme la suite logique de notre amitié. Je l’invite dans la tente, sous prétexte bidon de me coucher pour être en forme le dimanche…
Fred, tout naïvement, m’offre de me faire un massage à la chandelle…Le truc le plus vieux du monde mais tout de même efficace. En quelques secondes, déjà je n’ai plus de chandail et m’installe sur le ventre. Mon corps est alerte de recevoir de nouvelles mains, de laisser quelqu’un de nouveau frôler ma peau. Je réagis à chacun de ses mouvements pour m’imprégner de son toucher, de ses caresses, modestes mais sensuelles. Fred amplifie ses mouvements pour effleurer mes seins, descendre jusqu’à mes fesses, s’approcher de moi pour s’harmoniser avec mon corps… Je le sens très près de moi, tant par son souffle dans mon cou que par l’érection qui se distingue sur mes fesses. Je le sens aussi gêné, j’aurais parié aussi qu’il rougissait, s’étonnant de ses propres gestes. Sous l’effet de la tension qui règne, je me retourne et lui chuchote :
- Un massage hein? On disait quoi sur les massages? Que c’est relaxant?
- Vraiment désolé, je ne voulais pas…
Je l’interromps de mes lèvres, joignant les siennes. Nos bouches qui avaient tant discuté ensemble s’harmonisent du coup laissant nos corps parler et se rapprocher. Mes mains le caressent pour la première fois alors qu’il découvre à son tour mes mouvements. J’explore sa peau mais me garde le pénis pour la fin, caressant son torse, son ventre, ses cuisses, jusqu’à délicatement retirer son short. Lui me rend mes caresses et embrasse chaque pouce carré de mon corps, stimulant les parties qu’il se garde aussi pour la fin. Je pousse ma découverte jusqu’à son membre, immense dans mes mains, que je frôle doucement d’abord, intensifiant mon mouvement, comme emportée par le nouvel objet de mon désir. Fred me rend mon geste, me caressant des doigts, jusqu’à les insérer en moi.
À ce moment, j’ai pris son pénis entier dans ma bouche, suivant ses gestes pour que nos corps nous guident…Trop excitée, à bout de souffle je lui demande :
- Tu as un condom?
- Non, j’ai oublié… toi?
- Quoi??? Un gars, célibataire pas de condoms!! Je rêve!
- Oui, mais tu es arrivée trop tôt ce matin et je les ai oubliés sur la table…
- Moi, aussi, je suis partie trop vite… ça va.
À ce moment, je hurlais intérieurement. J’avais tellement envie de Fred en moi, de terminer la soirée avec la profondeur d’une relation sexuelle. J’avais envie de sentir son pénis repousser mes limites corporelles, et s’enfoncer dans ma chair. Je repris mon nouveau totem pour terminer ma découverte. Fred me fît jouir à son tour, de sa bouche sur moi et nous nous sommes endormis, nus, dans la tente mouillée.
Le lendemain, je me réveille, emballée de ma nouvelle découverte mais aussi déçue de ne pas avoir concrétiser ma nouvelle aventure faute de préservatifs. Fred vient me rejoindre dehors pour partager mon café et met le pied sur un petit sachet au pied de la tente…Il prend le petit sac qui s’avère être… un condom!
- C’est à toi ?
- Non! C’est à toi?
- Non!
Alors Fred et moi levons la tête en direction de nos voisins de camping qui nous font signe de la main et applaudissent dans les airs… Ombres chinoises…
Bonne semaine!
PS : Pour les inquiets, nous nous sommes envoyés en l’air toute la nuit à notre retour à Montréal… Merci à Fred qui n’est plus dans ma vie aujourd’hui mais qui remporte la palme ‘ergonomie massive’!
Beaucoup de réflexions ce week-end… Entre filles, entre amis, beaucoup de discussions, ce qui me permet de soutenir que le sujet de mon blogue est universel. En effet, nous étions exactement 11 à chercher l’amour, 11 à avoir des besoins sexuels, 11 à se demander si l’âme sœur existe. Quelques uns, plus désabusés, soutiennent que si c’est leur destin, tout peut arriver, le meilleur et le pire aussi. D’autres, plus rêveurs, soutiennent que l’amour les attend quelque part sans attentes, ni concessions. Aussi des évolutionnistes qui croient que l’amour n’est qu’un concept social, qu’un conditionnement et hésitent à s’immiscer dans le patern couple. Certains ont aussi le stress de l’age, de l’horloge biologique qui frappe, ils veulent réaliser leur plan de vie… Nous tous avons peur. Une peur qui freine un peu les pulsions, qui freine aussi la patience et la joie de laisser aller. Nous tous avons aussi hâte, enchantés par l’idée de tomber à nouveau en amour, de ne plus manger, de savoir que quelqu’un nous aime d’amour quelque part dans le monde. Et finalement, nous tous y croyons malgré nous. Nous y croyons faisant même abstraction des blessures passées, des chicanes, des rires perdus, de l’orgueil blessé surtout. Un bel échantillon de personnes, de personnages que ce week-end…
Nous en avons aussi profité pour nous tirer les verres du nez et raconter nos pires et nos meilleures anecdotes… de sexe bien sûr! Finalement, j’ai tellement d’anecdotes à raconter que je devrai faire quelques blogues sur le sujet… D’ailleurs, aujourd’hui, je ne sais pas si je dois commencer avec les versions soft ou un peu plus cru?? Va pour un gentil amalgame de soft…
Été 2005 :
J’ai fréquenté quelqu’un l’été dernier et nos ébats sexuels ont commencé sur une note très sympathique…
Depuis un mois cette personne est dans ma vie et nous multiplions les activités, les dodos et les sorties. Mais rien… je ne sais même pas si il y a possibilité, jusqu’à ce jour, que Fred devienne un vaillant amant. Nous allons en camping dans le Nord, moi me disant que ce week-end, j’aurai réponse à la suite de notre amitié et à ses intentions. Fred de son côté se fait réveiller par moi à 8h du matin, un samedi, parce que j’ai hâte de partir… Il fait donc ses bagages à la hâte et on se retrouve en moins de deux sur la route.
En chemin, c’est super sympathique, on s’entend à merveille, comme toujours. (ça peut paraître bénin mais c’est très important de tolérer un homme plus de deux heures en voiture!) Fred, malgré ses airs innocents avait sélectionné le terrain le plus génial du Québec. Sur le bord d’un lac, entouré d’arbres, mais surtout, à l’abri de nos voisins de camping qui sont à une trentaine de mètres, à peine perceptibles. Nous nous installons, trouvons un excellent restaurant pour souper, nous buvons du vin et tout s’enligne vers la soirée parfaite!
De retour au terrain, une chimie s’est installée par le biais d’alcool et de rires. Lui qui ne m’a jamais attiré jusqu’ici se présente alors à moi sous un autre jour. Plus enivrant, plus mystérieux. Ma perception change par le fait même que je ressens l’étape suivante comme la suite logique de notre amitié. Je l’invite dans la tente, sous prétexte bidon de me coucher pour être en forme le dimanche…
Fred, tout naïvement, m’offre de me faire un massage à la chandelle…Le truc le plus vieux du monde mais tout de même efficace. En quelques secondes, déjà je n’ai plus de chandail et m’installe sur le ventre. Mon corps est alerte de recevoir de nouvelles mains, de laisser quelqu’un de nouveau frôler ma peau. Je réagis à chacun de ses mouvements pour m’imprégner de son toucher, de ses caresses, modestes mais sensuelles. Fred amplifie ses mouvements pour effleurer mes seins, descendre jusqu’à mes fesses, s’approcher de moi pour s’harmoniser avec mon corps… Je le sens très près de moi, tant par son souffle dans mon cou que par l’érection qui se distingue sur mes fesses. Je le sens aussi gêné, j’aurais parié aussi qu’il rougissait, s’étonnant de ses propres gestes. Sous l’effet de la tension qui règne, je me retourne et lui chuchote :
- Un massage hein? On disait quoi sur les massages? Que c’est relaxant?
- Vraiment désolé, je ne voulais pas…
Je l’interromps de mes lèvres, joignant les siennes. Nos bouches qui avaient tant discuté ensemble s’harmonisent du coup laissant nos corps parler et se rapprocher. Mes mains le caressent pour la première fois alors qu’il découvre à son tour mes mouvements. J’explore sa peau mais me garde le pénis pour la fin, caressant son torse, son ventre, ses cuisses, jusqu’à délicatement retirer son short. Lui me rend mes caresses et embrasse chaque pouce carré de mon corps, stimulant les parties qu’il se garde aussi pour la fin. Je pousse ma découverte jusqu’à son membre, immense dans mes mains, que je frôle doucement d’abord, intensifiant mon mouvement, comme emportée par le nouvel objet de mon désir. Fred me rend mon geste, me caressant des doigts, jusqu’à les insérer en moi.
À ce moment, j’ai pris son pénis entier dans ma bouche, suivant ses gestes pour que nos corps nous guident…Trop excitée, à bout de souffle je lui demande :
- Tu as un condom?
- Non, j’ai oublié… toi?
- Quoi??? Un gars, célibataire pas de condoms!! Je rêve!
- Oui, mais tu es arrivée trop tôt ce matin et je les ai oubliés sur la table…
- Moi, aussi, je suis partie trop vite… ça va.
À ce moment, je hurlais intérieurement. J’avais tellement envie de Fred en moi, de terminer la soirée avec la profondeur d’une relation sexuelle. J’avais envie de sentir son pénis repousser mes limites corporelles, et s’enfoncer dans ma chair. Je repris mon nouveau totem pour terminer ma découverte. Fred me fît jouir à son tour, de sa bouche sur moi et nous nous sommes endormis, nus, dans la tente mouillée.
Le lendemain, je me réveille, emballée de ma nouvelle découverte mais aussi déçue de ne pas avoir concrétiser ma nouvelle aventure faute de préservatifs. Fred vient me rejoindre dehors pour partager mon café et met le pied sur un petit sachet au pied de la tente…Il prend le petit sac qui s’avère être… un condom!
- C’est à toi ?
- Non! C’est à toi?
- Non!
Alors Fred et moi levons la tête en direction de nos voisins de camping qui nous font signe de la main et applaudissent dans les airs… Ombres chinoises…
Bonne semaine!
PS : Pour les inquiets, nous nous sommes envoyés en l’air toute la nuit à notre retour à Montréal… Merci à Fred qui n’est plus dans ma vie aujourd’hui mais qui remporte la palme ‘ergonomie massive’!
Tuesday, August 15, 2006
Il était une fois..
Je suis malade. J'ai une grippe d'homme. Une grippe qui me fait promettre que quand je serai guérie, je remercierai le ciel de pouvoir oublier chaque mouvement que je fais, d'avoir retrouvé mon aisance naturelle. Je suis malade de partout. Malade de muscles douloureux, de gorge irritée, malade de fièvre et de mal de tête... Il n'y a qu'un avantage à avoir la grippe; celui de pouvoir bénéficier de ces frissons qui nous rendent dingues en tout temps sauf lorsque l'on est très excité. La grippe se transforme alors en super-spanish, la fièvre en doux aphrodisiaque et si on fait fî de notre apparence physique et de nos cris étouffés, on a la meilleure baise du mois...
Je ne suis plus capable de rien manger sauf de la crème. Crème de brocolis, crème de champignons, crème de tomates (un peu plus irritante celle-là)... Et éventuellement, un peu de sperme. Je suis convaincue qu'un peu de liquide de la sorte me remettrait rapidement sur pied mais il n'en restait plus au téléphone... et je n'ai pas eu d'appel d'offre. D'ailleurs, ça fait 3 semaines exactement que je n'ai pas avalé de sperme! Un autre record! Comme je l'ai mentionné dans un blogue précédent, j'ai les ongles cassants et ce n'est pas normal! Je suis convaincue que ma carence en liquide masculin est directement liée au cassement de mes ongles. J'ai donc fait des recherches.
BONHEUR!!! C'est même répertorié sur internet!!! Voici un extrait des cahiers d'Anne Archet qui tient aussi un blogue et qui a fait les recherches. Tout est vérifié par l'illustre docteur Ali Abbara (...)
Le sperme humain est composé à 90% d'eau. Le 10% qui reste est hautement énergétique, mais compte tenu de la quantité généralement ingérée (l'éjaculation moyenne est de 5ml) le danger de grossir reste faible, à moins d’être adepte de certaines pratiques partouzardes japonaises dont je n'ose évoquer le nom.
Un éjaculat de 5 ml contient donc grosso modo :
6 calories ;
0.1 g de glucides (surtout du fructose, mais aussi du sorbitol et de l’inositol) ;
0.9 g de protéines et acides aminés (glutathione, ADN et créatine) ;
0.03 g de lipides ;
Des minéraux comme le phosphore, le zinc, le magnésium, le calcium et le potassium ;
De la vitamine C et B12 ;
Des hormones (testostérone et prostaglandines) ;
Des traces de sous-produits corporels comme de l’acide lactique et de l’acide urique.
VOUS AVEZ LU?? Vitamine C, B12 (anti-dépresseur), du zinc->remède pour mes ongles qui cassent, du Calcium, etc
Voilà donc mesdames le remède à tous vos maux et éventuellement, le respect des monsieurs. Parce que oui, avaler le sperme est respectable. Avaler est: 1. Bon pour la santé, 2. écologique (pas de papiers gaspillés) 3. très stimulant, 4. Facile. En effet, j'ai apprivoisé moi-même la fellation pour en faire un art; un hommage à l'homme; un sport olympique. Mais tout à commencé par une anecdote...
Je ne sais pas si je dois aujourd'hui remercier ou emmerder le premier garçon à qui j'ai fait une fellation. Peu importe, il a marqué ma vie à jamais et sacralisé la pipe en ce qui me concerne...
J'ai 13 ans, c'est l'automne et Dom m'invite à aller chez lui. C'est ma première 'date' et puisqu'il est plus vieux je me promets d'avoir l'air la plus expérimentée possible. Pourtant, mes expériences sexuelles se limitent à cette époque à 2 ou 3 baisers et à avoir joué au docteur avec mes cousins. On s'embrasse, il met sa main dans mes pantalons et moi enlève les siens. Je fais alors la découverte de l'année: un pénis!!! Un vrai de vrai en érection!!! Wow!
Je prends l'objet dans ma main et m'émerveille de sa chaleur, de sa présence dans la pièce. Impressionnant. Le pénis de Dom devient alors ma priorité, mon centre d'attraction et je l'effleure de la bouche. Je commence d'une main le mouvement de va-et-vient que j'ai déjà vu à la télévision et me surprend de la douceur de la verge mais aussi de sa puissance (en fait pour être honnête, j'ai été épatée parce que je ne croyais pas que la peau dessus allait bouger avec ma main et des films que j'avais vus, je me disais que ça devait être très emmerdant de frotter une peau...13 ans...). Dom commence à réagir à mes mouvements, à mes lichettes aussi. À ce moment, je comprends que la fellation est une activité à part et relance ma découverte. J'enfile le pénis dans ma bouche, prenant soin de ne pas le mordre. Mmm... Je continue de ma main, l'autre caressant son ventre et ma bouche découvrant son gland, son pénis découvrant parfois ma langue, parfois ma gorge, parfois mes lèvres.
Dom semble apprécier ma fellation alors je me félicite qu'il n'ait jusqu'ici pas remarqué ou noté mon manque d'expérience. Il me complimente entre deux gémissements et j'accélère la cadence tranquillement, explorant de ma main libre ses testicules, ses cuisses et la base de sa verge. Je prends le rythme de ses hanches et il gémit de plus belle. Soudain, Dom est secoué de tremblements et je reçois son sperme dans ma bouche, et quelques gouttes au visage... Burp... Burp... Mais quelle horreur! Je me retiens de vomir mais les spasmes de ma gorge recrachent tout sur son pénis, déjà ramolli. Les hauts-le-coeur durent facilement une quinzaine de secondes et je le regarde, complètement abasourdie.
-Désolé G, j'aurais dû te prévenir
-Désolée Dom, je n'aurais pas dû tout cracher.
Je remets mes petites culottes jaune et retourne chez moi. Sur la route, je me promets que plus jamais je ne me ferai surprendre avec une fellation. Facile, j'ai senti que son pénis se contractait et ses testicules se resserraient juste avant qu'il éjacule. Je n'ai qu'à prévenir le coup la prochaine fois. Je pourrai alors faire des vraies pipes sans avoir l'air idiote... Le lendemain, j'ai confirmé que c'était la seule chose qu'il me manquait. Le meilleur ami de Dom vient me voir à l'école:
- G, je sais que tu as vu Dom hier et je veux que tu te prépares mentalement parce qu'il a raconté votre soirée...
- Quoi?!? Il est dingue! (J'ai les jambes qui flanchent, je veux quitter cette école, la honte!)
- En fait, maintenant, les gars de mon cours de math veulent tous sortir avec toi...
- ?!?
- Dom nous a dit que tu lui avais fait une super pipe hier et je me demandais si tu aimais Dom ou si on pouvait sortir ensemble?
- Euh... on verra OK? Je suis en retard
Bonne semaine!
Les cahiers d'Anne Archet: http://archet.net/index.php
Je ne suis plus capable de rien manger sauf de la crème. Crème de brocolis, crème de champignons, crème de tomates (un peu plus irritante celle-là)... Et éventuellement, un peu de sperme. Je suis convaincue qu'un peu de liquide de la sorte me remettrait rapidement sur pied mais il n'en restait plus au téléphone... et je n'ai pas eu d'appel d'offre. D'ailleurs, ça fait 3 semaines exactement que je n'ai pas avalé de sperme! Un autre record! Comme je l'ai mentionné dans un blogue précédent, j'ai les ongles cassants et ce n'est pas normal! Je suis convaincue que ma carence en liquide masculin est directement liée au cassement de mes ongles. J'ai donc fait des recherches.
BONHEUR!!! C'est même répertorié sur internet!!! Voici un extrait des cahiers d'Anne Archet qui tient aussi un blogue et qui a fait les recherches. Tout est vérifié par l'illustre docteur Ali Abbara (...)
Le sperme humain est composé à 90% d'eau. Le 10% qui reste est hautement énergétique, mais compte tenu de la quantité généralement ingérée (l'éjaculation moyenne est de 5ml) le danger de grossir reste faible, à moins d’être adepte de certaines pratiques partouzardes japonaises dont je n'ose évoquer le nom.
Un éjaculat de 5 ml contient donc grosso modo :
6 calories ;
0.1 g de glucides (surtout du fructose, mais aussi du sorbitol et de l’inositol) ;
0.9 g de protéines et acides aminés (glutathione, ADN et créatine) ;
0.03 g de lipides ;
Des minéraux comme le phosphore, le zinc, le magnésium, le calcium et le potassium ;
De la vitamine C et B12 ;
Des hormones (testostérone et prostaglandines) ;
Des traces de sous-produits corporels comme de l’acide lactique et de l’acide urique.
VOUS AVEZ LU?? Vitamine C, B12 (anti-dépresseur), du zinc->remède pour mes ongles qui cassent, du Calcium, etc
Voilà donc mesdames le remède à tous vos maux et éventuellement, le respect des monsieurs. Parce que oui, avaler le sperme est respectable. Avaler est: 1. Bon pour la santé, 2. écologique (pas de papiers gaspillés) 3. très stimulant, 4. Facile. En effet, j'ai apprivoisé moi-même la fellation pour en faire un art; un hommage à l'homme; un sport olympique. Mais tout à commencé par une anecdote...
Je ne sais pas si je dois aujourd'hui remercier ou emmerder le premier garçon à qui j'ai fait une fellation. Peu importe, il a marqué ma vie à jamais et sacralisé la pipe en ce qui me concerne...
J'ai 13 ans, c'est l'automne et Dom m'invite à aller chez lui. C'est ma première 'date' et puisqu'il est plus vieux je me promets d'avoir l'air la plus expérimentée possible. Pourtant, mes expériences sexuelles se limitent à cette époque à 2 ou 3 baisers et à avoir joué au docteur avec mes cousins. On s'embrasse, il met sa main dans mes pantalons et moi enlève les siens. Je fais alors la découverte de l'année: un pénis!!! Un vrai de vrai en érection!!! Wow!
Je prends l'objet dans ma main et m'émerveille de sa chaleur, de sa présence dans la pièce. Impressionnant. Le pénis de Dom devient alors ma priorité, mon centre d'attraction et je l'effleure de la bouche. Je commence d'une main le mouvement de va-et-vient que j'ai déjà vu à la télévision et me surprend de la douceur de la verge mais aussi de sa puissance (en fait pour être honnête, j'ai été épatée parce que je ne croyais pas que la peau dessus allait bouger avec ma main et des films que j'avais vus, je me disais que ça devait être très emmerdant de frotter une peau...13 ans...). Dom commence à réagir à mes mouvements, à mes lichettes aussi. À ce moment, je comprends que la fellation est une activité à part et relance ma découverte. J'enfile le pénis dans ma bouche, prenant soin de ne pas le mordre. Mmm... Je continue de ma main, l'autre caressant son ventre et ma bouche découvrant son gland, son pénis découvrant parfois ma langue, parfois ma gorge, parfois mes lèvres.
Dom semble apprécier ma fellation alors je me félicite qu'il n'ait jusqu'ici pas remarqué ou noté mon manque d'expérience. Il me complimente entre deux gémissements et j'accélère la cadence tranquillement, explorant de ma main libre ses testicules, ses cuisses et la base de sa verge. Je prends le rythme de ses hanches et il gémit de plus belle. Soudain, Dom est secoué de tremblements et je reçois son sperme dans ma bouche, et quelques gouttes au visage... Burp... Burp... Mais quelle horreur! Je me retiens de vomir mais les spasmes de ma gorge recrachent tout sur son pénis, déjà ramolli. Les hauts-le-coeur durent facilement une quinzaine de secondes et je le regarde, complètement abasourdie.
-Désolé G, j'aurais dû te prévenir
-Désolée Dom, je n'aurais pas dû tout cracher.
Je remets mes petites culottes jaune et retourne chez moi. Sur la route, je me promets que plus jamais je ne me ferai surprendre avec une fellation. Facile, j'ai senti que son pénis se contractait et ses testicules se resserraient juste avant qu'il éjacule. Je n'ai qu'à prévenir le coup la prochaine fois. Je pourrai alors faire des vraies pipes sans avoir l'air idiote... Le lendemain, j'ai confirmé que c'était la seule chose qu'il me manquait. Le meilleur ami de Dom vient me voir à l'école:
- G, je sais que tu as vu Dom hier et je veux que tu te prépares mentalement parce qu'il a raconté votre soirée...
- Quoi?!? Il est dingue! (J'ai les jambes qui flanchent, je veux quitter cette école, la honte!)
- En fait, maintenant, les gars de mon cours de math veulent tous sortir avec toi...
- ?!?
- Dom nous a dit que tu lui avais fait une super pipe hier et je me demandais si tu aimais Dom ou si on pouvait sortir ensemble?
- Euh... on verra OK? Je suis en retard
Bonne semaine!
Les cahiers d'Anne Archet: http://archet.net/index.php
Monday, August 14, 2006
Friday Night
Un vendredi soir musclé que ce 11 août dernier. Je suis invitée au Mile End pour le lancement de Noctambule avec DJ Bender. C’est un bon début de soirée puisque nous sommes accueillies par nos amis/connaissances et qu’il règne dans l’air une certaine fébrilité. Une fébrilité conjuguée d’excitation pour tous puisque nous savons pertinemment que : 1. la musique sera bonne 2. nous sommes en terrain connu pour faire la fête 3. nous repousserons encore les limites de l’hédonisme… Moi et Emma nous enfilons des spritzers jusqu’à ce qu’il n’y ait plus de vin. Je suis toujours à la merci de mes 17 jours sans coït et pars à la chasse…
À la chasse, je rencontre un grand inconnu qui me plait bien. Après quelques sourires, une présentation plutôt rapide, on s’embrasse… C’est d’ailleurs très rare que j’embrasse quelqu’un en public, c’est contre ma religion. En effet, je considère le baiser comme très intime et c’est enlever un peu de magie que de précipiter la chose… Aussi, quelques jours avant, j’ai eu le ‘french kiss of my life’. Un grand brun déjà rencontré qui m’a embrassée comme si c’était le dernier baiser de sa vie. Le monde s’était arrêté de tourner, tout était flou, il n’y avait que moi et lui, nos bouches en parfaite symbiose. Je n’avais jamais vécu ça avant! Après 3 minutes de parfaite harmonie, j’avais des spasmes au ventre et j’étais complètement étourdie. Mes standards se sont donc rehaussés en terme de baiser mais bon, en ce vendredi au point ou j’en suis rendue! Je danse, ris et Bel inconnu est toujours à quelques mètres pour m’arracher un autre baiser, toujours plus intense. Normal puisque Bel inconnu est complètement gelé et qu’il entre dans ma petite vie un peu trop nonchalamment. Je décide donc de ne pas m’envoyer en l’air avec un parfait inconnu complètement défoncé et quitte le bar en courant…
Mais on me rattrape et la première chose que je sais, c’est que nous sommes 7 dans ma voiture et que je suis sur le point de disjoncter…sexuellement ‘Ah! C’est toi G!’ me dit une nouvelle venue dans le groupe et elle m’embrasse. Franchement, je ne suis pas très ‘fille’ dans mes histoires de fesses mais Chloé a particulièrement eu une belle approche. Quoi?? Ce n’est pas une belle approche que d’embrasser une parfaite inconnue pour se présenter? Original, mémorable et stimulant, bravo à Chloé! On aime les gens sexe, particulièrement quand on en manque et que tout le monde joue à l’autruche pour conserver un certain standing...
Ensuite, on part pour aller rejoindre des copains chez un ami… Je ne peux pas dire qui j’ai embrassé ni comment mais c’était bien agréable ce périple dans ma voiture. Je me suis servie un gros ‘appetizer’ qui laissait croire à : 1. quelqu’un allait devoir combler mes pulsions et croyez-moi, je suis assez créative en ce sens 2. si échec, j’allais subir une crise nerveuse suivie d’une semaine de masturbation intense. Dring!! Hourra, un appel de sexe à 4h30 du matin!!! Je vais rejoindre Viktor, mon amant-fusion…
J’arrive là, Viktor dort. Je le réveille d’une traditionnelle fellation : ma carte de visite. Il se réveille, je déboutonne ma robe doucement et l’embrasse en m’asseyant sur lui. À ce moment, je me sens particulièrement sensuelle et surtout très, très allumée. Il me prend par la nuque avec une rage que je ne lui connais pas et me dit :
-Ramasse-moi
-Quoi?!? Te ramasser?
-Oui, baise-moi, ramasse-moi!
(Juste pour vous mettre en contexte, c’est moi qui se fait ramasser habituellement et je ne me fais pas prier…)
Sans réfléchir, je prends le contrôle entier de sa personne. Un peu comme si j’étais possédée, il a subi une hargne et une colère dont j’ignorais l’existence parce que oui, je l’ai ramassé. Moi sur lui, lui sans aucun contrôle de mes mouvements, ni des siens. Coincé entre mes jambes, les mains tantôt sur sa gorge pour l’embrasser, tantôt tenant ses bras pour m’assurer qu’il n’avait pas le loisir de participer, tantôt le frappant pour qu’il cesse de parler ou de bouger… D’un mouvement assuré (formule testée et éprouvée!) je l’ai rendu dingue et j’ai poussé la méchanceté jusqu’à cesser tout mouvement à chaque fois ou son plaisir s’approchait de la jouissance. Puis il tentait de bouger ou de parler et je le frappais pour qu’il cesse tout mouvement. Il voulait des sensations fortes, Viktor fût servi. Viktor fût aussi servi en châtiments et s’est retrouvé les poignets et le torse grafignés… oups, je me suis emportée!
Finalement, le tout s’est terminé sur une note un peu plus fusionnelle puisque je l’ai laissé me baiser aussi… Après tout, c’est moi qui avait envie! Alors, on s’est retrouvés. Lui, un peu étourdi de sa séance de ‘ramassage’, sur moi, complètement ivre de sexe. Et j’ai jouis, oubliant lui, oubliant mon nom, oubliant mon corps, jusqu’à ce que je revienne à la réalité, sa main sur ma bouche pour me calmer. Viktor m’embrasse, comme si on venait d’avoir une ‘classique’ relation sexuelle. C’était quoi ça??? Comment on en est venus là? Est-ce que c’est moi qui divague ou on a re-re-dépassé des limites? Parce qu’avec Viktor, j’ai repoussé mes propres normes : groupes, balcon en plein jour, ascenseur au travail, et j’en passe… What’s next? Je le regarde, encore étourdie et lui dis à l’oreille :
-Bonne nuit étranger…
À la chasse, je rencontre un grand inconnu qui me plait bien. Après quelques sourires, une présentation plutôt rapide, on s’embrasse… C’est d’ailleurs très rare que j’embrasse quelqu’un en public, c’est contre ma religion. En effet, je considère le baiser comme très intime et c’est enlever un peu de magie que de précipiter la chose… Aussi, quelques jours avant, j’ai eu le ‘french kiss of my life’. Un grand brun déjà rencontré qui m’a embrassée comme si c’était le dernier baiser de sa vie. Le monde s’était arrêté de tourner, tout était flou, il n’y avait que moi et lui, nos bouches en parfaite symbiose. Je n’avais jamais vécu ça avant! Après 3 minutes de parfaite harmonie, j’avais des spasmes au ventre et j’étais complètement étourdie. Mes standards se sont donc rehaussés en terme de baiser mais bon, en ce vendredi au point ou j’en suis rendue! Je danse, ris et Bel inconnu est toujours à quelques mètres pour m’arracher un autre baiser, toujours plus intense. Normal puisque Bel inconnu est complètement gelé et qu’il entre dans ma petite vie un peu trop nonchalamment. Je décide donc de ne pas m’envoyer en l’air avec un parfait inconnu complètement défoncé et quitte le bar en courant…
Mais on me rattrape et la première chose que je sais, c’est que nous sommes 7 dans ma voiture et que je suis sur le point de disjoncter…sexuellement ‘Ah! C’est toi G!’ me dit une nouvelle venue dans le groupe et elle m’embrasse. Franchement, je ne suis pas très ‘fille’ dans mes histoires de fesses mais Chloé a particulièrement eu une belle approche. Quoi?? Ce n’est pas une belle approche que d’embrasser une parfaite inconnue pour se présenter? Original, mémorable et stimulant, bravo à Chloé! On aime les gens sexe, particulièrement quand on en manque et que tout le monde joue à l’autruche pour conserver un certain standing...
Ensuite, on part pour aller rejoindre des copains chez un ami… Je ne peux pas dire qui j’ai embrassé ni comment mais c’était bien agréable ce périple dans ma voiture. Je me suis servie un gros ‘appetizer’ qui laissait croire à : 1. quelqu’un allait devoir combler mes pulsions et croyez-moi, je suis assez créative en ce sens 2. si échec, j’allais subir une crise nerveuse suivie d’une semaine de masturbation intense. Dring!! Hourra, un appel de sexe à 4h30 du matin!!! Je vais rejoindre Viktor, mon amant-fusion…
J’arrive là, Viktor dort. Je le réveille d’une traditionnelle fellation : ma carte de visite. Il se réveille, je déboutonne ma robe doucement et l’embrasse en m’asseyant sur lui. À ce moment, je me sens particulièrement sensuelle et surtout très, très allumée. Il me prend par la nuque avec une rage que je ne lui connais pas et me dit :
-Ramasse-moi
-Quoi?!? Te ramasser?
-Oui, baise-moi, ramasse-moi!
(Juste pour vous mettre en contexte, c’est moi qui se fait ramasser habituellement et je ne me fais pas prier…)
Sans réfléchir, je prends le contrôle entier de sa personne. Un peu comme si j’étais possédée, il a subi une hargne et une colère dont j’ignorais l’existence parce que oui, je l’ai ramassé. Moi sur lui, lui sans aucun contrôle de mes mouvements, ni des siens. Coincé entre mes jambes, les mains tantôt sur sa gorge pour l’embrasser, tantôt tenant ses bras pour m’assurer qu’il n’avait pas le loisir de participer, tantôt le frappant pour qu’il cesse de parler ou de bouger… D’un mouvement assuré (formule testée et éprouvée!) je l’ai rendu dingue et j’ai poussé la méchanceté jusqu’à cesser tout mouvement à chaque fois ou son plaisir s’approchait de la jouissance. Puis il tentait de bouger ou de parler et je le frappais pour qu’il cesse tout mouvement. Il voulait des sensations fortes, Viktor fût servi. Viktor fût aussi servi en châtiments et s’est retrouvé les poignets et le torse grafignés… oups, je me suis emportée!
Finalement, le tout s’est terminé sur une note un peu plus fusionnelle puisque je l’ai laissé me baiser aussi… Après tout, c’est moi qui avait envie! Alors, on s’est retrouvés. Lui, un peu étourdi de sa séance de ‘ramassage’, sur moi, complètement ivre de sexe. Et j’ai jouis, oubliant lui, oubliant mon nom, oubliant mon corps, jusqu’à ce que je revienne à la réalité, sa main sur ma bouche pour me calmer. Viktor m’embrasse, comme si on venait d’avoir une ‘classique’ relation sexuelle. C’était quoi ça??? Comment on en est venus là? Est-ce que c’est moi qui divague ou on a re-re-dépassé des limites? Parce qu’avec Viktor, j’ai repoussé mes propres normes : groupes, balcon en plein jour, ascenseur au travail, et j’en passe… What’s next? Je le regarde, encore étourdie et lui dis à l’oreille :
-Bonne nuit étranger…
Thursday, August 10, 2006
Argghh!
Argghhh!
Moi qui croyais avoir plusieurs histoires palpitantes à raconter, pleins d’aventures spirituelles à partager : NON! Exactement 16 jours sans relation sexuelle quelconque. 16 JOURS! La dernière fois ou ça m’est arrivé, je devais avoir 18 ans et à cette époque encore, je n’étais pas complètement dépendante à la chose bien que ce fût difficile. Avec le temps, j’ai développé un réseau intéressant qui comblait bien mes besoins, en couple ou célibataire. Qu’est-ce qui se passe??
Donc, hier soir, sortie avec une copine et on a trouvé au travers de la ville : Quelques amis sur Mont-Royal, que des couples sur Bernard, une rue Laurier complètement vide et de superbes filles dans le vieux Montréal. Rien pour apaiser mes pulsions.
Bien sûr, j’aurais pu me présenter au Diable Rouge ou au Radio Lounge vers les coups de 2h00 et trouver le gars saoul le moins boutonneux et régler le problème. Mais je ne suis pas pédophile. Aussi, j’aurais pu miauler sur mon balcon jusqu’à ce qu’une petite bête quelconque comprenne ma fébrilité et vienne me tenir compagnie… mais je ne suis pas zoophile. Et finalement, j’ai un ex qui s’amourache de moi encore et encore (même s’il est en couple)*** et qui est toujours là pour répondre à mes besoins physiques… et j’ai refusé son invitation (invitation du type ‘on baise dans la boîte de mon pick-up dans un champ de maïs plein de pesticides’) d’hier… parce que je ne suis pas idiote!
Certaines personnes soutiennent qu’un certain temps sans relation leur permet de se retrouver. Désolée mais je n’ai pas atteint ce niveau de conscience encore. D’ailleurs, est-ce vraiment un niveau de conscience ou simplement une résignation qui est ‘socialement’ acceptée? J’ai de sérieux doutes. De mon côté, un manque de contacts corporels crée : des palpitations, un manque de concentration, des gerçures sur les lèvres parce que je les mords (on parle de bouche ici), des crampes au ventre, de la difficulté à dormir, un manque de stimulation intellectuelle et un manque d’énergie flagrant. Ou se trouve la grandeur spirituelle dans tout ça? Ce n’est pas des farces, je ne me supporte plus! J’ai tous ces symptômes à la fois et même les vidangeurs me stimulent! Je soupçonne aussi un manque de protéines ingurgitées car mes ongles sont cassants…
Je crois au contraire que le sexe rapproche des gens. Personnellement, je trouve en l’activité quelque chose de vrai, un contact authentique. Ça me permet de rester ‘groundée’ avec moi-même, mes émotions et la planète en général.
Bonne semaine!
*** NDLR : Avec une grosse brune pas fine.
Moi qui croyais avoir plusieurs histoires palpitantes à raconter, pleins d’aventures spirituelles à partager : NON! Exactement 16 jours sans relation sexuelle quelconque. 16 JOURS! La dernière fois ou ça m’est arrivé, je devais avoir 18 ans et à cette époque encore, je n’étais pas complètement dépendante à la chose bien que ce fût difficile. Avec le temps, j’ai développé un réseau intéressant qui comblait bien mes besoins, en couple ou célibataire. Qu’est-ce qui se passe??
Donc, hier soir, sortie avec une copine et on a trouvé au travers de la ville : Quelques amis sur Mont-Royal, que des couples sur Bernard, une rue Laurier complètement vide et de superbes filles dans le vieux Montréal. Rien pour apaiser mes pulsions.
Bien sûr, j’aurais pu me présenter au Diable Rouge ou au Radio Lounge vers les coups de 2h00 et trouver le gars saoul le moins boutonneux et régler le problème. Mais je ne suis pas pédophile. Aussi, j’aurais pu miauler sur mon balcon jusqu’à ce qu’une petite bête quelconque comprenne ma fébrilité et vienne me tenir compagnie… mais je ne suis pas zoophile. Et finalement, j’ai un ex qui s’amourache de moi encore et encore (même s’il est en couple)*** et qui est toujours là pour répondre à mes besoins physiques… et j’ai refusé son invitation (invitation du type ‘on baise dans la boîte de mon pick-up dans un champ de maïs plein de pesticides’) d’hier… parce que je ne suis pas idiote!
Certaines personnes soutiennent qu’un certain temps sans relation leur permet de se retrouver. Désolée mais je n’ai pas atteint ce niveau de conscience encore. D’ailleurs, est-ce vraiment un niveau de conscience ou simplement une résignation qui est ‘socialement’ acceptée? J’ai de sérieux doutes. De mon côté, un manque de contacts corporels crée : des palpitations, un manque de concentration, des gerçures sur les lèvres parce que je les mords (on parle de bouche ici), des crampes au ventre, de la difficulté à dormir, un manque de stimulation intellectuelle et un manque d’énergie flagrant. Ou se trouve la grandeur spirituelle dans tout ça? Ce n’est pas des farces, je ne me supporte plus! J’ai tous ces symptômes à la fois et même les vidangeurs me stimulent! Je soupçonne aussi un manque de protéines ingurgitées car mes ongles sont cassants…
Je crois au contraire que le sexe rapproche des gens. Personnellement, je trouve en l’activité quelque chose de vrai, un contact authentique. Ça me permet de rester ‘groundée’ avec moi-même, mes émotions et la planète en général.
Bonne semaine!
*** NDLR : Avec une grosse brune pas fine.
Tuesday, August 08, 2006
Au commencement
Salut,
Bien contente de vous recevoir sur ce blogue perso... Un petit essai pour partager nos histoires, nos philosophies, un petit peu de moi et ce qui se passe dans nos vies. En fait, depuis longtemps je cherche LE sujet qui fascine les gens, qui m'interpelle un peu tous les jours, me fait vibrer et aussi réfléchir, évoluer. LE sujet sur lequel j'aimerais passer mes états d'âme et qui vaut la peine d'être écrit.
J'ai finalement trouvé. Tout ce qui touche mes proches (touche au sens propre et figuré svp!) et moi-même, ce pour quoi on se déchire, ou bien le coeur, ou bien l'âme, ou encore d'autres trucs... c'est le sexe! Pas de cul-hard-sangsue-dans-les-fesses-golden-shower, promis! Juste moi/vous dans nos aventures et si possible, un brin de philosophie.
Si j'écris tout ça, c'est pour 1. avoir vos commentaires-feedback 2. pouvoir un jour écrire des nouvelles super érotiques et devenir une auteure à succès 3. partager enfin des idées-théories sur le sexe a jeun... 4. le temps nous le dira...
Soyez assurés que toutes mes expériences seront confidentielles donc, pas de stress si vous en faites partie. Puisque je ne parlerai pas de personne en mal, chaque petit homme dans ma vie peut se sentir rassuré (et au mieux, chacun croira que je le couvre d'éloges et tous seront heureux et innocents...)
À très bientôt!
Bien contente de vous recevoir sur ce blogue perso... Un petit essai pour partager nos histoires, nos philosophies, un petit peu de moi et ce qui se passe dans nos vies. En fait, depuis longtemps je cherche LE sujet qui fascine les gens, qui m'interpelle un peu tous les jours, me fait vibrer et aussi réfléchir, évoluer. LE sujet sur lequel j'aimerais passer mes états d'âme et qui vaut la peine d'être écrit.
J'ai finalement trouvé. Tout ce qui touche mes proches (touche au sens propre et figuré svp!) et moi-même, ce pour quoi on se déchire, ou bien le coeur, ou bien l'âme, ou encore d'autres trucs... c'est le sexe! Pas de cul-hard-sangsue-dans-les-fesses-golden-shower, promis! Juste moi/vous dans nos aventures et si possible, un brin de philosophie.
Si j'écris tout ça, c'est pour 1. avoir vos commentaires-feedback 2. pouvoir un jour écrire des nouvelles super érotiques et devenir une auteure à succès 3. partager enfin des idées-théories sur le sexe a jeun... 4. le temps nous le dira...
Soyez assurés que toutes mes expériences seront confidentielles donc, pas de stress si vous en faites partie. Puisque je ne parlerai pas de personne en mal, chaque petit homme dans ma vie peut se sentir rassuré (et au mieux, chacun croira que je le couvre d'éloges et tous seront heureux et innocents...)
À très bientôt!
Subscribe to:
Posts (Atom)